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Deux ans après le licenciement de Gina Carano par Disney en raison de propos offensants sur les réseaux sociaux, l’actrice, connue pour son rôle de Cara Dune dans les deux première saisons de The Mandalorian, a enfin reçu une réponse de la part de la compagnie, tout comme nous.
En effet, selon un rapport de Epoch Times, l’équipe juridique du studio affirme que l’actrice a « mal interprété » la décision concernant son départ, après avoir affirmé qu’elle était « réduite au silence » pour avoir ses propres opinions.
Le studio a décidé de licencier Carano après que l’actrice a comparé les critiques qu’elle a subies pour sa position politique conservatrice à la persécution subie par de milliers de personnes d’origine juive.
Carano dit que ses déclaration étaient inoffensives et n’ont pas nui à l’image de Disney. Mais pour les besoins du processus, ce n’est pas à elle de porter ce jugement. Comme la Cour Suprême l’a explicitement déclaré, les plaideurs et les tribunaux doivent se soumettre à l’opinion de l’entité expressive sur les associations qui peuvent nuire à leur discours. Le procès de l’actrice devrait être rejeté.
Alors que l’actrice a exigé 75 000 dollars au studio pour avoir brusquement coupé les liens, Disney a affirmé être protégé par le Premier Amendement en tant qu’entité expressive. En privilégiant le contrôle se sa propre image, Disney soutien qu’il a le droit de rompre les contrats avec des artistes qui menacent sa réputation de quelque manière que ce soit.
Le désir de revenir
En plus de demander cette somme en dommages et intérêts, l’actrice a exprimé publiquement son souhait de revenir dans la série The Mandalorian, créant un débat sur un possible retour entre elle et Disney, tout en affirmant qu’il n’y avait aucun problème entre elle et le studio.
